La biographie de l’auteure: Irène Haché

biographie- visage de l'auteure contre un mur de roche en été

Bonjour,

Je m’appelle Irène Haché et je vis au Canada.

J’ai débuté mes premiers écrits à l’âge de douze ans et que j’ai gardés caché dans un cartable.

Lorsque je suis entrée à l’université, j’ai du m’acheter un ordinateur, ce qui m’a aidée à découvrir Internet (j’en avais qu’une légère aperçut à l’école). J’en ai profité pour chercher des moyens d’améliorer mes textes.

Malheureusement, mes débuts n’ont pas été fructueux, j’ai toute fois vue ce loisir comme étant quelque chose de possible en tant que métier

Ensuite en 2017, je m’essaie chez une maison d’édition. Refus. sans la faire lire a personne ce qui a été une erreur, j’ai été refusée Mais j’ai continué de mener des recherches pour m’améliorer. J’ai réalisé que ce que je prenais pour des histoires était plus du domaine de l’idée.

En 2019 ma grand-mère commençait à être moins en forme, moins de mémoire, ça été ma première motivation, c’est la que je me suis dit de sortir un livre, je voulais terminer avant qu’elle décède, ce qui n’a pas été le cas, mais elle avait pu voir une des premières versions. Ce premier livre a été long, mais j’espère avoir réussi à trouver des techniques pour raccourcir ce temps, car j’ai encore beaucoup d’idée..

L’été 2021, je trouve des informations sur la narration et la dramaturgie de Stephane arnier (mon saint Graal) qui m’aide enfin à comprendre ce qui clochait et qui retarde mon envoie de manuscrit à une maison d’édition J’ai découvert pleins de conseils avec des explications claires et détaillées et j’ai gardé le site sous le coude. J’ai toute fois été encore refusé en maison d’édition, bien que cette fois là on m’avait demandé de les rencontrer pour discuter.

Puis en 2023 en fouillant pour des infos sur les maisons d’éditions, j’ai découverte une phrase d’un site de France. Je ne sais pas si c’est aussi le cas au Canada, mais elle m’a fait réfléchir. Ça disait que les éditeurs traditionnels (à compte d’éditeur) sont des distributeurs et non des vendeurs. J’allais donc devoir quand même m’occuper du marketing. C’était la partie que je craignais, je ne connaissais rien là-dedans. Et je voulais obtenir un peu d’expérience avant d’essayer l’autoédition.

Rendu là, si je devais moi-même m’organiser pour promouvoir mon livre, me faire découvrir au public, pourquoi ne pas tout faire soit même ? J’ai donc révisé mes plans ou plus tôt inverser mes plan, commencer par l’autoédition et publier des livres plus spécifique dans une maison d’édition. Je me suis donc trouver des formations marketing pour auteur sur écrire et être lu, autoédition expliquer et  auto edition facile (AEF), beaucoup de recherche et me voilà.

Fin 2023, en me retrouvant sans emploie quelque mois, j’ai encore eu une confirmation que c’est ce que je voulais faire comme métier, car bien que je n’étais pas salarier, je travaillais sur un livre et j’avais adoré l’expérience. Depuis j’ai pour rêve de publier d’autre livres et d’arrivé à vivre de ce métier.

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